jeudi 20 janvier 2011

b) Selon les différentes classes sociales.

Les différentes classes sociales se distinguent au sien de la Mode en fonction de la quantité de vêtements achetés ou de la qualité de l'habit.


Les ménages d'indépendants ne se fournissent pas dans la gamme de prix la plus basse même lorsque leur dépense est faible. Ils préfèrent resteindre leur budget en limitant leurs achats.  
Les chefs d'entreprises, les professions libérales, les gros agriculteurs, dont les revenus sont plus élevés, limitent eux aussi leurs achats tout en les choissisant dans le luxe.
Pour les salariés, c'est différent. Les ménages ouvriers achètent tous dans des gammes de prix bon marché, les plus aisés d'entre eux se contentant uniquement d'en acquérir un plus grand nombre.

Ces types d'approvisionnement renvoient à deux comportements opposés, qui peuvent cependant être coexistants. Dans le premier, le renouvellement de la garde-robe est rapide et l'habit doit y être "tendance", quelle que soit sa durabilité et sa commodité. Ceux sont les cadres, ingénieurs d'entreprises, citadins de grandes villes qui sont le plus sujets à ces "folies vestimentaires". A l'autre extrême, les vêtements achetés sont avant tout solides, durables, adaptés à la fonction. Ce type d'achat concerne les milieux moyens et classes populaires.


Il y a donc de notables différences entre les classes populaires et les classes aisées où l'on préfère acheter "à la Mode", quitte à gaspiller, au détriment des plus pauvres qui achètent en quantité nettement inférieure mais "bien", tout autant qu'il leur soit donner de réaliser des achats corrects avec leur faible budget.

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